Message final aux habitants de l’Avesnois

Suite à la visite Pastorale qu'il a effectuée en début d'année, Mgr Vincent Dollmann s'adresse aux habitant de l'Avesnois. Son message final s'inscrit dans la continuité du message qu'il avait envoyé pour les fêtes de Pâques.

(Le fichier est téléchéléchargeable en pied de page)

Visite pastorale dans le doyenné de l’Avesnois

2019-2020

Message final aux habitants de l’Avesnois

 

Chers amis,

 

Lors des fêtes de Pâques alors que le pays connaissait encore le confinement en raison de l’épidémie de coronavirus, je vous ai adressé une première évaluation de ma visite pastorale. Les échanges avec les prêtres et tous leurs collaborateurs m’ont amené à prendre les décisions canoniques qui sont maintenant actées.

La paroisse Sainte-Bertille (Colleret) fait désormais partie du doyenné du Val de Sambre (Maubeuge). Le P. Lin Mahantana, curé, et M. Dominique Blondelle, diacre permanent, continuent leurs missions respectives, mais en lien avec le P. Romefort, doyen de Maubeuge.

Les paroisses Notre-Dame des deux-Helpes (Dompierre-sur-Helpe) et Bon Pasteur (Avesnes-Sur-Helpe) ont fusionné en une seule paroisse sous le vocable de Sainte-Anne en Avesnois.

Le P. Benjamin Sellier, doyen et curé de la paroisse Sainte-Anne et le P. Armand Flavien Inko, curé de la paroisse Sainte-Hiltrude sont installés et commencent leur ministère en lien avec le P. Didier Potier, curé de la paroisse Sainte Claire. Les Pères Pierre Héliot, Gérard Naveau et Léon Rousseau, prêtres aînés continueront d’assumer le ministère pastoral selon leurs possibilités et en lien avec le Doyen.

 

Je désire avant tout remercier chacun d’entre vous qui avez répondu aux propositions de célébrations et rencontres durant ma visite. Je salue l’investissement des prêtres, des religieuses et des membres des équipes d’animation des paroisses, des écoles catholiques et des différents services et mouvements. Un merci particulier aux Pères Henri Bracq et Engelbert Fotsing qui œuvrent aujourd’hui sous d’autres cieux. La visite pastorale, interrompue par le confinement, a pu se poursuivre avec les adaptations nécessaires pour respecter les normes sanitaires.

Avec la clôture officielle de ma visite le 11 octobre, je vous laisse quelques orientations autour des trois missions de l’Eglise, l’annonce, la prière et le service. Le contexte de crise sanitaire engendre un climat d’incertitude et de peur quant à l’avenir de l’humanité et de la création. Notre foi est interpelée d’une manière radicale. Ce n’est plus le moment d’entretenir telle ou telle structure pastorale, mais il s’agit d’approfondir notre amour du Christ et de son Eglise pour en témoigner et répondre aux interrogations sur l’existence et à la quête spirituelle de nos contemporains.

 

  1. Annoncer le Christ en Eglise

Nous devons garder à cœur la priorité de l’annonce du Christ et du témoignage de sa présence vivante dans nos vies. Pour cela, je vois quatre points d’attention :

Cultiver le goût de la prière personnelle et en famille

Si nous désirons des célébrations vivantes et priantes, nous devons certes veiller à la formation liturgique, mais avant tout à la prière personnelle et en famille. Pour transmettre les gestes et les paroles de la tradition chrétienne, il nous faut les habiter nous-mêmes. Pour maintenir l’amitié avec le Christ, un chrétien se doit d’être fidèle à la prière du matin et du soir. Pour entretenir la paix et la joie intérieures, nos familles ont à garder vivantes les belles traditions comme celle de la prière à table ou de l’Angelus. Et pour servir l’unité, les membres de nos communautés ont à donner une place à l’examen de conscience et au sacrement du pardon.

Favoriser les lieux d’approfondissement de la foi

A côté des propositions de formations au niveau du doyenné, existent des petits groupes, comme les Fraternités Paroissiales Missionnaires, les Équipes du Rosaire, de l’Action Catholique ou celles qui sont rattachées à un Mouvement spirituel (Focolari, Fraternités franciscaines, Équipes Notre-Dame…) ; ils allient formation, échange et prière. Ces réalités méritent d’être encouragées et de se développer dans la dynamique de l’évangélisation. Des communautés présentes dans notre diocèse comme les Missionnaires Serviteurs de l’Evangile ou la Communauté Palavra Viva, ou celles œuvrant dans d’autres diocèses peuvent soutenir ce dynamisme missionnaire. Chaque groupe veillera à ne pas se replier sur lui-même et à faire le point avec les prêtres qui ont la charge de la fidélité et de l’unité de l’Eglise.

Favoriser une démarche plus communautaire du catéchuménat et de la catéchèse

J’ai pu constater combien le catéchuménat insufflait un vrai renouveau de la vie chrétienne dans l’Avesnois. En lien avec mon message au diocèse, en septembre dernier, je propose que les groupes soient démultipliés et qu’un nombre plus conséquent de croyants puisse y participer. On peut ainsi espérer que les futurs baptisés soient davantage intégrés dans la vie ecclésiale.

La catéchèse des enfants et des jeunes mérite d’être également renouvelée en lien avec les familles : les temps forts avec les familles peuvent être privilégiés par rapport aux heures de catéchisme, ou encore, les familles soucieuses de la vie chrétienne pourraient se voir confier la catéchèse des enfants à domicile.

Veiller à garder nos églises ouvertes et à valoriser le patrimoine religieux

L’état des oratoires, des calvaires et des églises, mais aussi l’accessibilité de ces dernières, sont des indicateurs de la santé de la communauté chrétienne. Il nous faut retrouver le goût de pousser la porte de l’église pour saluer le Seigneur, lui faire une visite. De même il ne faut pas que l’utilisation des églises soit limitée aux eucharisties du dimanche ou aux obsèques. Il est important durant la semaine que des chrétiens se réunissent pour la prière des psaumes, le chapelet, la louange ou l’adoration silencieuse. Il est à noter que de nombreuses personnes qui ne fréquentent plus nos rassemblements, viennent volontiers se recueillir et faire brûler une bougie dans nos églises.

J’encourage en même temps les initiatives culturelles dans le respect du caractère sacré des églises. Les personnes intéressées pourront trouver un soutien auprès du Service diocésain de la Pastorale du Tourisme et du Temps Libre.

 

  1. Célébrer le Christ en Eglise : le sacrement de l’eucharistie, la célébration de la Parole de Dieu et la piété populaire

Fortifier la foi en Jésus qui se donne en nourriture dans l’eucharistie

Dans chacune des trois paroisses, avec les célébrations du Monastère des Bénédictines Olivétaines de Moustier, il est bon de maintenir un horaire et un lieu fixes pour l’une des messes dominicales. S’il y a plusieurs groupes liturgiques ou chorales dans une paroisse, il faudra veiller à ce qu’ils puissent intervenir dans ces célébrations.

Les messes et l’adoration eucharistique en semaine, sont à promouvoir et à faire estimer par les baptisés. Elles permettent de toucher les personnes jeunes ou adultes qui n’ont pas la possibilité de se déplacer le dimanche. Leur aspect plus dépouillé peut éduquer au silence et à l’intériorité pour mieux vivre l’eucharistie comme le sacrement de la rencontre avec le Christ.

Ceux qui portent la Sainte Communion aux personnes malades ou âgées ont une grande responsabilité par rapport à la foi en Jésus eucharistie. Je rappelle que le Corps du Christ doit être déposé dans une custode et porté aux personnes dans le prolongement d’une célébration. Il n’est pas permis de garder la Sainte Communion à domicile.

Fortifier la foi en Jésus qui se donne dans la Parole de Dieu

De nombreux chrétiens découvrent dans la lecture de la Bible d’une manière individuelle ou en groupe, une lumière et une force pour leur vie. Il est bon également qu’ils s’initient à la prière de la Liturgie des Heures et qu’ils soient attentifs à intégrer une lecture de la Parole de Dieu même très courte, dans toutes les célébrations, de la prière du chapelet aux veillées de prière.

Dans les églises, il est à veiller à la propreté et à la dignité de l’ambon, le lieu de la proclamation des Ecritures, de même que de l’autel et du tabernacle.

Il est également souhaitable que les parcours de catéchuménat et de catéchèse soient davantage marqués par des temps de célébration de la Parole de Dieu. Ils permettent une vraie préparation des cœurs à percevoir la présence vivante et permanente du Christ dans l’eucharistie.

Estimer la piété populaire

Les neuvaines et les processions en l’honneur des saints, les gestes de vénération et de demande de protection ont toute leur place dans la prière des communautés chrétiennes. Si la liturgie officielle de l’Eglise, notamment l’eucharistie doit être enracinée dans la foi des apôtres et ne pas être l’objet d’expérimentation, la piété populaire peut être le lieu de la créativité et de la recherche d’enracinement de la foi dans les champs sociaux culturels les plus variés. La piété populaire par son caractère familial et festif offre également des temps et des lieux privilégiés de rencontre entre les générations, si précieux pour notre temps.

  1. Servir le Christ dans les frères : témoigner du Christ et vivre les collaborations multiples

Tenir ensemble prière et action

Pour l’Eglise, le service fait partie, aux côtés de l’annonce de l’Evangile et de la prière, de la mission que le Christ lui a confiée. Nos institutions d’Eglise (Conférence Saint Vincent de Paul, Secours Catholique…) mettent en œuvre cette mission ; la prière et notamment des temps d’écoute de la Parole de Dieu y ont toute leur place. Le contact avec des personnes aidantes ou aidées qui ne sont pas catholiques ne doit pas nous amener à nous taire, bien au contraire, par respect pour elles, nous devons rendre compte de ce qui nous anime.

Je ne peux qu’encourager les chrétiens engagés dans les structures caritatives chrétiennes ou laïques à se laisser conduire par l’Esprit du Christ et éclairer par son Evangile. Les deux Communautés religieuses apostoliques dans le doyenné, les Sœurs de Sainte Thérèse d’Avesnes et les Sœurs Missionnaires de Marie-Reine du Monde indiquent la voie ; elles ont su développer leur charisme respectif en liant intimement le service du Christ et du prochain.

Collaborer avec les instances civiles et associatives

Le contexte actuel de la pandémie de coronavirus suscite de nombreux débats sur le système économique, les rapports mondiaux et l’écologie. S’y ajoutent les questions du respect de la vie humaine, avec la fuite en avant dans les lois bioéthiques de plus en plus permissives.

Comme citoyens, nous avons à participer à ces débats et comme chrétiens, nous sommes appelés à témoigner de la proximité du Christ à toutes les réalités humaines et à rendre compte des repères qu’il nous a laissés. Le Pape François a su les préciser pour l’époque actuelle en soulignant dans son encyclique Laudato Si, l’urgence d’une écologie intégrale qui soit liée à l’activité économique et à la justice sociale. Cette écologie doit également être humaine, capable de placer la personne humaine au centre et de veiller au développement harmonieux de sa réalité corporelle et spirituelle, individuelle et familiale.

A côté de l’engagement social et caritatif, la vie culturelle constitue un autre lieu de partenariat possible avec la société et une aide à maintenir vivante la fierté des habitants de l’Avesnois.

 

En conclusion, mes encouragements et ma prière

Si la foi au Christ est un don, il nous appartient de la cultiver par la prière et par la formation continue. Enracinés ainsi dans le Christ, nous pourrons le suivre en participant à sa mission d’annonce de l’Evangile, de prière et de service. Puissent les saints de l’Avesnois, d’hier et d’aujourd’hui, nous éclairer et nous soutenir par leur prière. Je pense à saint Etton, moine irlandais venu évangéliser la région au 7ème siècle ; à saint Ursmar, missionnaire de l’Avesnois et de la Flandre, à saint Dodon, son disciple, établi ermite à Moustier et à sainte Hiltrude, ermite près de l’Abbaye Liessies, tous les trois ont vécu au 8ème siècle. Je n’oublie pas les Bienheureux Michel Coquelet et Jean Wauthier, religieux missionnaires au Laos et morts martyrs dans les années 1960.

Avec l’ensemble des saints, puisse la Vierge Marie vénérée sous de nombreux vocables dans l’Avesnois, nous garder dans la fidélité au Christ et dans la joie de son Evangile.

 Vincent Dollmann

Archevêque de Cambrai

 

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Vincent DOLLMANN

Archevêque de Cambrai

Visite pastorale dans le doyenné de l'Avesnois

2019-2020

Message aux habitants pour le temps pascal

 

Chers amis,

Un retour sur les premiers mois de la visite pastorale

Depuis novembre, j’ai visité les paroisses du Bon Pasteur (Avesnes-sur-Helpe), de Notre-Dame des Deux-Helpes (Dompiere-sur-Helpe) et de Sainte Bertille (Colleret). J’ai eu l’occasion de rencontrer sur le terrain des agriculteurs, éleveurs, artisans et commerçants et de participer à des échanges avec des membres de mouvements d’Eglise et d’associations civiles et professionnelles.

Avec joie, j'ai présidé la Fête de la Présentation du Seigneur au Temple, le 2 février, en présence des Sœurs de Sainte-Thérése et des Sœurs Missionnaires de Marie-Reine du Monde ainsi que des personnes consacrées liées à un mouvement ou à un charisme spirituel. Nous étions en communion avec la Communauté Bénédictine Olivétaine de Moustier-en-Fagne. A leur côté existent les fraternités paroissiales missionnaires et des groupes de prières, mais aussi des équipes liées à des mouvements spirituels de l’Eglise universelle comme les équipes du Rosaire, les équipes des Focolari ou la Fraternité franciscaine.

J’ai rencontré en présence de responsables diocésains, des personnes engagées dans la pastorale de la santé comme membres d’aumôneries d’hôpitaux et de maisons de retraite ou comme visiteurs de malades.

Je me suis rendu dans des établissements d’enseignement catholique et eu des rencontres de travail avec les responsables et les membres des communautés éducatives. J’ai été heureux de pouvoir me rendre à la maison familiale rurale, "Le Clos Fleuri" à Avesnes et à l’établissement spécialisé " La Ferme du Pont de Sains" à Féron.

J’ai pu réaliser l’engagement des chrétiens dans le domaine caritatif, que ce soit au plus près des habitants avec par exemple la Conférence Saint-Vincent-de-Paul, ou au loin, avec la structure Aide au Tiers Monde (ATM) de Sars-Poteries.

Les réalités matérielles et financières ne furent pas oubliées, puisqu’une matinée de travail a eu lieu avec les conseils économiques en présence l’économe diocésain, M. Nicolas Fourest.

Ajoutons à cela, toutes les rencontres non programmées qui m’ont été données de vivre grâce au zèle des prêtres, des membres des équipes d’animation de la paroisse, et particulièrement du doyen le P. Henri Bracq.

Les nominations

Le confinement est venu interrompre la visite et m’a contraint à passer au téléphone, au courrier et aux réseaux sociaux. Cela m’a permis d’avancer dans les nominations pour la rentrée pastorale prochaine et de les rendre publiques le mardi-saint, 7 avril.

Je voudrais d’abord rappeler que depuis le 1er mars, Mme Ingrid Jacquemin est nommée animatrice pastorale et responsable de l’aumônerie de l’enseignement public pour le doyenné de l’Avesnois. Et Mme Marie-Claude Delvaux a reçu une mission bénévole pour le Pélé Cyclo, Laudato Si et Eglise Verte et la confirmation des lycéens.

Pour la rentrée pastorale en septembre prochain, voici la nouvelle équipe des prêtres :

Le P. Benjamin Sellier est nommé doyen de l'Avesnois, curé modérateur des paroisses Notre-Dame des Deux-Helpes et du Bon Pasteur en Avesnois et curé solidaire des autres paroisses.

Le P. Armand Flavien Inko est nommé curé modérateur de la paroisse Sainte Hiltrude en Avesnois et curé solidaire des autres paroisses.

Le P. Didier Potier est nommé curé modérateur de la paroisse Sainte Claire en Avesnois et curé solidaire des autres paroisses.

Ils seront toujours secondés par les prêtres aînés, les Pères Pierre Héliot, Gérard Naveau et Léon Rousseau qui continueront à participer à la vie liturgique et pastorale selon leurs possibilités et en lien avec le doyen.

Les Pères Henri Bracq et Engelbert Fotsing quittent le doyenné pour de nouvelles missions.

Dans le cadre de la formation continue, le P. Henri Bracq reprend pour un an des études théologiques au niveau universitaire et se mettra au service des paroisses du doyenné de Maubeuge pour les offices dominicaux.

Le P. Fotsing est nommé curé modérateur de la paroisse Sainte Bernadette en Denaisis et curé solidaire des autres paroisses du doyenné.

 

Le territoire du doyenné

En ce qui concerne l’organisation territoriale, j’ai pris note de l’état des discussions initiées au niveau des paroisses, il y a déjà quelques années. Après avoir entendu l’avis des prêtres et des équipes d’animation pastorale, je prends les décisions suivantes pour la rentrée prochaine à partir du 1er septembre 2020 :

- La paroisse Sainte-Bertille (Colleret) fera partie du doyenné du Val de Sambre (Maubeuge). Le P. Lin Mahantana, curé solidaire, et M. Dominique Blondelle, diacre permanent, exerceront leurs ministères en lien avec le P. Romefort, doyen de Maubeuge.

- Les paroisses Notre-Dame des Deux-Helpes (Dompierre-sur-Helpe) et Bon Pasteur (Avesnes-Sur-Helpe) deviendront une seule paroisse.

Les attentions pastorales

L’Avesnois compte un nombre important de personnes dévouées pour maintenir vivante la vie chrétienne dans les villages et les quartiers. L’effort de garder les églises ouvertes en est un signe. Les personnes compétentes et dévouées ne manquent pas dans tous les domaines de la vie ecclésiale et sociale.

A côté de ces activités aux quatre coins du doyenné, il faut maintenir des pôles de liturgie régulière, notamment à Avesnes et à Fourmies.

Je souhaite que les prêtres continuent à porter une attention particulière aux enfants et aux jeunes. Les responsables de la catéchèse, des mouvements, des équipes des servants d’autel et des établissements scolaires auront à cœur de collaborer avec eux.

Les prêtres sont également attendus par les jeunes professionnels et les jeunes couples. Les instances au niveau paroissial et décanal devront être encore davantage à leur écoute et prêtes à s’adapter au rythme de personnes ayant une activité professionnelle et une charge familiale.

Dans l’attente de la poursuite de la visite pastorale

Le 1er dimanche de Carême, deux semaines avant le confinement, nous avions pu vivre grâce au service de l’Initiation Chrétienne, l’appel décisif des 77 catéchumènes du diocèse à l’église d’Avesnes, Ils nous encouragent à mieux vivre notre engagement de foi dans l’Eglise et la société, et nous prions pour eux afin qu’ils puissent recevoir bientôt les sacrements du baptême et de l’initiation chrétienne.

Ma visite pastorale n’est pas terminée, mais le confinement et les incertitudes quant aux types de rencontres et de célébrations possibles les prochains mois, m'incitent à vous donner déjà un premier cadre pour la rentrée pastorale prochaine.

En cette épreuve de la pandémie, demandons au Christ Jésus de nous garder en communion avec lui et l’humanité, par la prière et la vie de charité.

Unis dans la joie du Christ ressuscité.

 

 Vincent DOLLMANN

Archevêque de Cambrai

Article publié par communication Service • Publié le Mercredi 19 mai 2021 • 2658 visites

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